Comme pour chaque échange, les orchestres et communes préparent des cadeaux ou des surprises pour le groupe de la commune jumelée.
Mais très souvent, à cause de problèmes de communication, les surprises n´étaient plus des surprises, car certains ne savaient garder un secret. Toutefois pendant le centenaire de la Monatalbanaise les surprises n´ont pas été devoilées, ni par le président allemand, ni par le président français.
C´est pour cela que les deux chefs de groupe étaient très fièrs et contents de présenter leur surprise lors d´une soirée d´adieu. Le président allemand monta alors sur scène et commença a parler de leur idée, un morceau de musique composé pour l´occasion portant le nom d´un gateau allemand « Gugelhupf ».
Pour introduire ce morceau, il avait prévu de présenter le gateau, mais juste à ce moment-là, la lumière s´éteignit dans la salle et les Montalbanais emmenèrent leur surpise : un gateau avec 100 bougies. Pour le coup ils ne risquaient pas de manquer de gâteaux.
Peut-être un problème de timing ?